27 février, 2007
Je ne me remettrai jamais de Sissi...

Après Les Jeunes Années d'une Reine, mes films non-animés de princesses préférés furent sans contredit la trilogie de Sissi.

Avec ces deux films, l'actrice Romy Schneider m'a fait aimer Victoria et Sissi et rêver de leurs palais respectifs. Je me suis vraiment gâtée en 1998, l'été de mes 20 ans, quand j'ai visité leurs deux résidences officielles, soit le Palais de Buckingham à Londres et le Palais de Schoenbrunn à Vienne.

(Ah tiens! Je crois que je vais scanner cette semaine deux petites photos de ces visites pour vous les montrer.)

Avec ces films de jeunesse, et d'autres inspirations (comme par exemple LA famille Von Trap!), l'Autriche a toujours été un pays qui me parle et m'invite. Vienne certes, mais aussi l'atmosphère bavarois, les alpes, l'histoire, la valse, le tramway, la campagne autrichienne... Ça me rejoint tout ça. Ma courte visite à Vienne fut donc superbe, mais tant qu'à moi ne fut qu'une invitation à y revenir.

Je rêve de retourner dans ce pays pour séjourner dans sa campagne, pour skier sur ses Alpes... (et tenter par tous les moyens d'aller faire une descente du côté suisse pour pouvoir aller boire un VRAI choolat chaud avant de remonter la montagne). Je veux retourner voir un concert de valses avec danseurs...

Mon préambule pour vous dire quoi?

Que j'ai maintenant une raison de plus de vouloir retourner en Autriche. Une amie m'a récemment envoyé par courriel (ça commence à circuler car je l'ai reçu de deux personnes différentes) une série de photos d'un parc où on fait des miniaturisations de moments importants de 53 pays différents. Ceux qui connaissent ma fascination pour les maisons de poupées (un exemple) peuvent s'imaginer à quel point je peux avoir envie de visiter un tel parc!

Voici le site web de l'endroit, Minimundus, sur une page où vous pouvez voir quelques photos de monuments reproduits. Cliquez sur les images pour les agrandir.

Alors... qui vient avec moi?

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posted by MHH at 27.2.07 | Permalink | 3 comments
21 février, 2007
Jusqu'où ça va aller?
Ce n'est pas un petit bonheur aujourd'hui m'emmène à écrire, mais bien une inquiétude profonde suscitée par la lecture d'un article. (À mon tour de remercier Renée-Claude de l'avoir affiché sur son blogue.)

On y parle des parents-roi... Des adultes, oui oui, des ADULTES, qui font beaucoup plus que jouer aux gérants d'estrade... Ils tentent de régner, et le terme est juste, dans les classes de leurs enfants... Ou de leur enfant devrais-je dire... L'enfant-roi bien sûr...

Vous lecteurs qui êtes principalement ma famille et mes amis... Jurez que si vous me voyez un jour déraper vers le centième des exemples que vous lirez dans cet article, vous me prendrez par le collet (au sens figuré) et me remettrez les pensées dans le socket!

Maman et papa, vous qui êtes d'anciens professeurs... Je suis tellement heureuse que vous ayiez enseigné dans un monde meilleur, il y a plusieurs années... Contente pour la qualité de l'enseignement que vous avez pu donner. Et contente aussi parce qu'il y aurait eu des guerres nucélaires je crois si des parents avaient essayé leur manège avec les miens. Fondamentalement adeptes du gros bon sens, mes parents auraient, en bon québécois du 21 siècle, péter une coche! En fait, ils en auraient péter plusieurs des coches!

Si vous pensez que je parle beaucoup aujourd'hui... Vous n'avez rien vu!!! Quand je rentrais à la maison avec un C dans mon bulletin, c'est moi qui se faisait chicaner... Pas le prof! Et c'était très bien ainsi.

(À part une exception.... J'avais fait de GROS efforts pour atteindre un B en comportement à défaut de quoi je n'aurais pas pu aller passer l'été au camp High Point pour lequel littéralement, je vivais. J'avais parlé au prof de cette problématique et lui avait demandé de m'aider à garder le cap. Elle ne m'aimait pas. C'était la 2e année de suite qu'elle m'avait et elle ne m'aimait pas. J'ai fait de gros efforts, et au-delà de l'effort, j'avais réussi à atteindre un niveau de comportement OK et je crois vraiment, honnêtement, sur mon honneur, que je méritais mon B. (Et on s'entend que je ne faisais que parler beaucoup. J'ai jamais été impolie de ma vie, jamais usé de violence, j'avais juste des bonnes notes, etc). Eh bien madame Beaudoin m'avait mis un C++ !!!!!!! Un C, avec 2 +!!! Adepte du gros bon sens, ma mère m'a laissé aller au camp...)

Bref! À part cet incident, (ou une fois où notre prof de 2e année faisaint plus d'erreurs en écrivant que nous autres) jamais mes parents n'auraient interférer avec l'école ou nos profs à moins vraiment d'un conflit majeur. C'est moi qui était punie pour mes notes de comportement ou pour mes résultats d'examens. Ce n'est pas le prof qui avait fait un examen trop difficile. Merci mes parents!

Nous avons nous-même un chalet dans les Laurentides et nous demeurons à Ste-Julie. JAMAIS, JAMAIS il ne m'est venu en tête d'aller chercher Corinne plus tôt afin de sauver le traffic. Je ne peux pas croire que des parents élèvent leurs enfants en leur apprenant que sauver du traffic est plus important que de suivre son programme scolaire.

J'aimerais que les enseignants de Corinne et de mes futurs enfants les éveillent au plus de styles de littérature possible afin qu'ils soient quasi certains de trouver un style, un auteur qui les branche. À moins que le livre choisi traite de pornographie ou de violence graphique, jamais je ne dispenserais mon enfant de faire un travail scolaire sur un livre qui heurte nos valeurs familiales! Au contraire, je le lirais aussi et en discuterais ensuite avec lui pour faire le lien ou la différenciation d'avec ce que nous vivons. Le gros bon sens!

Je crois qu'il y a des exceptions. Des parents dont les enfants ont un léger handicap, ou une condition spéciale, et qui suivent le programme régulier doivent s'assurer que l'enseignant comprend bien la situation particulière de leur enfant. Mais un coup que le tout a été expliqué et compris, il faut laisser aux enseignants le contrôle de leur navire.

C'est-tu moi qui capote???

Voici l'article en question. Cliquez ici.

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15 février, 2007
C'est-tu pas beau ça?
En ce lendemain de Saint-Valentin, regardez ce dont ça a l'air un couple amoureux depuis presque 4 ans!!!
Cette photo a été prise lors du marriage d'un de mes bons amis cet été.

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posted by MHH at 15.2.07 | Permalink | 4 comments
13 février, 2007
Marie: 1 ; Papa: 0
C’est une première je crois. J’ai gagné!!!

Concours entre mon paternel et moi qui dure depuis le début de l’adolescence (la mienne!)… Lequel de nous deux rencontrera le plus de personnes qu’il connaît au Centre Bell (ou Centre Molson, ou Forum) lors d’une partie de hockey.
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Je vis cette année des moments vraiment le fun au Centre Bell avec mon chum. On a fini par trouver la combinaison parfaite auto-parking-métro. (On trouve ça le fun nous!), on mange notre sac de peanuts en écales, on vibre au son de la chanson Crazy qui présente les joueurs, on se pavane dans nos chandails et nos casquettes du Canadien, on chiale sur nos voisins de siège italiens qui gueulent tout le long du match, on chante l’hymne national, on jubile lors d’un but… Bref, une foule de petits gestes qui en une saison sont devenus de petites traditions. J’affectionne particulièrement ces moments partagés. Décidément, le hockey m’aura permis de vivre des moments privilégié avec deux des hommes de ma vie…

Car mes petites traditions au Forum, elles ont commencé bien avant 2006!

Avec mon père, plus jeune, je vivais d’aussi beaux moments. On avait aussi la combinaison parfaite auto-métro. On mangeait des hot dogs à la première période et des milk shakes à la 2e. On avait de gentils placiers qui nous reconnaissaient. Mon père essayait par tous les moyens de me faire honte! Spécialement en me chantant ÉNANÉNOUNA…

Et au-delà de tout, dans les dernières années où mon père avait des billets de saison, on avait un concours : celui qui rencontrerait le plus de personnes qu’il connaît. On a eu des parties serrées, mais je crois que c’est toujours lui qui a gagné.

Et une fois, il m’a battue d’aplomb!!! Et il était fier!

On se promène dans le forum, entre deux périodes. Je rencontre un ami. C’Est 1-0 pour moi. Pour tenter d’impression mon père (fallait être jeune et innocente!) je lui dis, en même temps que mon ami s’éloigne : Lui, son père travaille au même bureau que Brian Mulroney.

Environ 10 pas plus loin, dans le même geste, mon père me donne un coup de coude nargueur et tend la main droit devant. Qui la prend tout en disant à mon père : Salut Michel! ?

BRIAN MULRONEY!!!

J’ai rarement vu mon père aussi fier de son coup que ce soir là. Il avait un regard triomphant, il n’arrêtait pas de rire. Je n’avais plus aucune chance! Même si j’avais vu 10 personnes de plus que lui ce soir là, on savait tous les eux qu’il m’avait sapré toute une volée à notre petit jeu!

C’est moi qui a invité mon père au Centre Bell la semaine passée. J’étais bien contente de l’y emmener. Fière aussi.

Nos billets ne sont pas comme les siens à l’époque. Dans les gris, on n’arbore pas la cravate, mais bien le chandail du CH. Mon père et moi avions chacun le nôtre! Il a été dur à convaincre, mais il a fini par le mettre. J’aurais aimé que le photographe Brodeur travaille encore… Il aurait pu prendre un très beau cliché de nous, 15 ans plus tard que son premier.

Pour couronner le tout, même si la Canadien a lamentablement perdu, moi j’ai gagné notre concours à nous deux. Mon amie Virginie est venue sauver mon honneur!

Merci Virg! Et merci mon petit papa pour tant de beaux souvenirs avec toi.

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posted by MHH at 13.2.07 | Permalink | 2 comments
Le montée fulgurante continue!

Je vous parlais récemment de Melissa, mon amie qui déploie ses ailes de façon remarquable dans son milieu. Eh bien l'édition de la revue WallPaper - où elle est présentée comme l'une des 10 designers en émergence à surveiller mondialement - est finalement en kiosque. La revue Grafika présente elle aussi le travail de Melissa et lui a même accordé son grand prix 2007, toutes catégories confondues, lors du Gala annuel Grafika 2007.


!!!!!


Voici un autre article traitant du sujet chaud de l'heure en graphisme. Et j'ai nommé: Melissa Mongiat! Plus personnel et vulgarisé, j'aime beaucoup cet article qui dépeint très bien mon amie. Je la sens dans ces lignes, et elle me manque.


Une Québécoise fait craquer le Wallpaper
Mali Ilse Paquin
La Presse, 13 février 2007
Collaboration spéciale
Londres

Beaucoup de designers vendraient leur grand-mère pour obtenir une mention dans le magazine Wallpaper. Un coup de chapeau dans la bible branchée du design vaut de l'or. Y arriver tout juste après avoir terminé sa maîtrise et avant d'avoir atteint la trentaine relève de l'exploit.

Ne comptez pas toutefois sur la Québécoise Melissa Mongiat pour s'en vanter. La Londonienne d'adoption, qui vient de souffler 29 chandelles, est bien trop humble pour ça.

Le Wallpaper l'a pourtant choisie sur sa liste très sélecte des designers à surveiller. Et l'a invitée à New York pour une séance de photos.

Comme si ce n'était pas assez, elle a remporté le Grand Prix Grafika, la semaine dernière, pour un projet qu'elle a réalisé avec la designer portugaise Arlete Castelo. L'installation Hidden Love Song figure sur la page couverture du magazine Grafika de ce mois-ci.

Petit retour en 2004. Melissa (écrit sans accent à l'italienne) est alors à la tête de l'équipe graphique d'un bureau d'architectes. Ayant toujours caressé le rêve d'étudier à l'étranger, elle décide de faire le grand saut à Londres. Elle s'endette jusqu'au cou pour suivre un programme spécialisé en installations narratives au prestigieux collège St. Martins situé au coeur de la capitale.

Pourquoi Londres? «C'est un choix sentimental, dit-elle de sa voix douce. J'aime l'humour des Anglais. Londres est aussi une plaque tournante importante en design. Ici, l'audace est récompensée, plus qu'à Montréal. C'est hyper stimulant!»

Elle s'est rapidement démarquée avec sa vision singulière. Son terrain de jeu est l'espace urbain. Sa mission est d'humaniser le design extérieur, de faciliter les échanges entre des passants et un environnement.

Le projet qu'elle a réalisé pour le Royal Festival Hall - l'équivalent de la Place des Arts à Montréal - illustre bien sa démarche. Le but de PLAY.orchestra était de rappeler aux gens la vocation éducative du centre pendant sa fermeture pour des rénovations.

Pour cette installation, 56 sièges en forme de cubes étaient disposés devant le bâtiment. Un instrument de musique était associé à chaque banc. En prenant place, les piétons déclenchaient un morceau préenregistré. Ils créaient ainsi leur propre symphonie. Ils pouvaient ensuite immortaliser leur création en téléchargeant le résultat sur leur téléphone portable.

La logistique a créé quelques maux de tête. Par exemple, comment dissimuler les 2 km de fils reliant les bancs aux consoles de son? Le casse-tête en a valu la peine : l'installation a été un immense succès. Les enfants mimaient les instruments avec entrain. Des adultes trichaient en se tenant debout sur deux sièges à la fois.

«Ça m'a touchée de voir la réaction des participants, dit la brunette jeune femme. Certains fermaient les yeux, d'autres souriaient. C'était beau à voir.»

" J'aime quand le design offre aux gens un moment de poésie dans leur journée. "

Une bouffée d'air

«La vision de Melissa est très avant-gardiste, explique Tony Chambers, directeur de création de Wallpaper à La Presse. Tout comme son travail, elle est sensible, brillante et un peu excentrique! Sa modestie est une vraie bouffée d'air frais dans ce domaine de requins.»

Son histoire d'amour avec Londres tire à sa fin : la designer compte retourner à Montréal l'été prochain. Une agence de publicité très connue et une multinationale québécoise lui font déjà de l'oeil.

«Je veux pousser plus loin le design interactif. J'espère que Montréal est prêt pour ça», dit-elle songeuse.

Ce que l'expatriée a hâte de retrouver? «Ma famille, mon chum, mes amis... et le bistro Réservoir! dit-elle en riant. On y mange le meilleur fish and chips au monde!»

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12 février, 2007
Fou fou fou!
Bonjour à tous!

Comme ça fait longtemps que je suis venue écrire...

Le temps me manque depuis une dizaine de jour. Un gros projet au travail me demande de lui consacrer chaque minute passée devant l'ordi. Après des journées de 10 heures, lorsque j'arrive à la maison, vraiment, je n'ai plus envie de retourner devant l'écran.

Pourtant, il se passe plein de petits bonheurs quand même que j'aimerais venir relater. Je viendrai le faire cette semaine.

Une soirée au Centre bell avec mon papa
Une découverte d'une soupe divine
Une Saint-Valentin toute douce avec mon amoureux
La redécouverte du plaisir de prendre des photos
Mon amie Mélissa qui continu ses ravages dans son domaine

Je viendrai bientôt vous jaser de tout ça!

En attendant, souhaiter moi bonne chance afin que je termine au PC mon gros projet!
Et aussi afin que mon incidieux mais présent mal de gorge me quitte...

Bonne semaine!
 
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01 février, 2007
Ça n'arrête pas le progrès!
Une amie qui n'habite pas la région m'a demandée hier si j'ai SKYPE pour parler gratuitement au téléphone.

SKYPE? Non... C'est quoi?

C'est un logociel de converstion qu'on installe dans notre l'ordinateur et avec lequel on peut parler avec n'importe qui sur la planète gratuitement. En terme d'utilisation, c'est à peu de choses près le même principe que MSN Messenger, mais avec la voie plutôt que les doigts!

3 conditions seulement:

1 - Les deux personnes doivent avoir téléchargé le logiciel
2 - La personne appelée doit être dans votre liste de contact
3 - Il faut un micro branché dans l'ordinateur

Comme dans Messenger, on voit quand les personnes sont "loguées". On clique sur un bouton pour les apeller. Elles cliquent pour accepter, et c'est parti, on se parle pour gratuit, clair comme dans un téléphone (sinon plus!).

Vraiment, je suis impressionnée.

On peut aussi de faire un avatar qui nous ressemble. Moi, j'ai travaillé 15 minutes sur le miens pour me rendre compte à la fin que je dois payer pour l'avoir. Ça, c'est moins drôle. Mais bon, pour un service comme ça qui est gratuit, peut-être bien que je me laisserai tenter.

Et à la question de mon amie qui me demandait si j'avais ce logiciel, ma réponse fut: Non! je ne connais même pas ça.

J'en parle à l'homme pour lui demander de me l'installer. Sa réponse?

"Marie, on a ça d'installé depuis longtemps et je l'utilise fréquemment!"

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