01 novembre, 2006
Gilligan et Mariane ont quitté leur île...
Et oui, c'est fini pour quelques mois... Nous retournerons au chalet lorsque l'île sera emmitoufflée dans sa couverture toute blanche...

Comme d'habitude, un sentiment mixte. Il y a une tristesse à savoir qu'on ne retrouvera pas notre endroit de coocooning par excellence avant un grand bout, nous qui vivons une vie d'un rythme, ma foi, effrainé. Le sentiment quand on rentre au chalet après notre semaine, après le trajet en voiture, après la traversée, après avior monté tous les baggages... Un sentiment tellement calme, heureux, prometteur de bon temps... Je vais m'ennuyer de ce feeling.

Mais d'un autre côté, on est toujours très excités aussi à l'idée de savoir qu'on sera en ville quelques fins de semaine pour profiter de notre maison, préparer Noel, voir plus nos familles, nos amis. Ça sussi, c'est un sentiment le fun!

On a le meilleur des deux mondes, et c'est très bien ainsi!

Alors oui, on a quitté l'île dimanche. Et pas de n'importe quelle façon! Il a neigé toute la fin de semaine. C'était tout blanc partout. On entendait déjà au loin le Mont Alta nous appeler! Et coco a fait son premier bonhomme de neige. Mais il y avait aussi beaucoup, beaucoup, et beaucoup de vent!!! Et on a manqué d'électricité. Certaines étapes qu'on doit faire demandent de l'électricité... Mais elle est revenu juste à temps!

C'était donc plus ou moins agréable de "fermer" le chalet dans ces conditions... Et surtout de traverser le lac. C'était au point où on n'était pas certains de se rendre à destination. On a élaboré des plans au cas où le pédalo ne nous emmerait pas là où on le souhaitait!

Mais finalement, tout s'est bien passé: Corinne s'est tenue bien fort et nous on a fait travailler nos jambes!

Toute une épopée!

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posted by MHH at 1.11.06 | Permalink |


2 Comments:


  • At 9:59 a.m., Blogger Martin Archambault

    On est des "SURVIVORS" !!!!

     
  • At 11:34 a.m., Blogger Anne

    Ouin, j'imagine que ça devait faire un petit pincement. Or, comme tu le dis si bien, la vie continuera dans votre charmante maison... C'est pas comme si vous étiez à la rue, disons!